le petit journal des pieds plats

Publié le par les pieds plats

Hier, tirant mes savates du côté de Gidrol, j'ai croisé une horde d'arbres en guenilles. Il est vrai qu'ils n'avaient pas fière mine. Chemin faisant, un mot en entraînant un autre, ils m'expliquèrent leur mésaventure : Ils essuyèrent une énorme tempête qui les laissèrent sans feuille ; et depuis ils errent de colline en colline, espérant trouver un marchand de feuilles, car avec cette dégaine, ils seront vite la proie des tronçonneuses. Moralité, il y a pire que le confinement !!!

A très bientôt. Alain Cramoisi

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